J'espùre que vous prendrez du plaisir à lire cet article 
 Et mieux encore : qu'il vous soit utile.

🧠 ExpĂ©rience client — RĂ©flexe 2. Cultiver l’ĂȘtre, l’avoir suivra.

Expérience client : To Be or 
 To Be ?

Entre une culture de l’avoir, sanctionnĂ©e par des Ă©checs rĂ©pĂ©tĂ©s Ă  concevoir une expĂ©rience client positive, et une culture de l’ĂȘtre, en ligne avec les nouvelles connaissances sur le cerveau et les comportements humains, il n’y a plus d’hĂ©sitation shakespearienne Ă  avoir. It’s Time To Be !

Mais comment opĂ©rer cette bascule ontologique surtout au sein d’une grande entreprise ? Comme indiquĂ© dans le rĂ©flexe n°1 « Briser la vitre sans tain », la premiĂšre Ă©tape incombe clairement au leader puis Ă  son management.

A eux de montrer l’exemple et d’insuffler une double prise de conscience : celle d’orienter davantage les projecteurs sur la piĂšce occupĂ©e par les clients ; celle que la culture de l’ĂȘtre ; et celle envers les employĂ©s auxquels il faut insuffler une vision, une attitude.

PrioritĂ© aux comportements plutĂŽt qu’aux compĂ©tences, pour mieux ĂȘtre car avoir empĂȘche l’humain de penser Ă  l’autre humain face Ă  lui.

En expérience client, les entreprises font le grand écart facial 
 Ouille !

En plus d’évoluer dans un monde Ă  la complexitĂ© croissante, les entreprises vivent de plus en plus mal le grand Ă©cart facial auquel elles sont contraintes.

La jambe de l’expĂ©rience client se tend de plus en plus vers la droite alors que simultanĂ©ment celle de l’expĂ©rience employĂ© fait de mĂȘme dans la direction opposĂ©e 
 Risques maximum de claquage, Ă©longation ou dĂ©chirure imminente. N’est-pas Jean-Claude Van Damme qui veut. Autant en ĂȘtre « aware » 


Selon l’indice Deloitte Shift(1), au niveau mondial, 80% des employĂ©s sont mĂ©contents de leur emploi. Et des dizaines d’autres Ă©tudes arrivent au mĂȘme constat : un profond malaise ronge les entreprises. Une enquĂȘte internationale de Steelcase, rĂ©alisĂ©e auprĂšs d’employĂ©s de 17 pays(2) Ă©conomiquement les plus importants, affirme de son cĂŽtĂ© que les employĂ©s français sont les plus insatisfaits et les moins impliquĂ©s au travail contre 5% de satisfaits. L’entreprise Gallup, spĂ©cialisĂ©e dans la gestion des ressources humaines, a, elle, publiĂ© une Ă©tude qui pointe que seuls 6% des employĂ©s français sont engagĂ©s(3). C’est-Ă -dire qu’ils « contribuent fortement aux performances de l’entreprise, innovent, crĂ©ent de la valeur et portent la croissance ». Enfin, d’aprĂšs une Ă©tude Qualtrics de 2018, seuls 8% des Français sont heureux d’aller au travail tous les matins.

Pensez-vous vraiment que changer leur guide d’entretien tĂ©lĂ©phonique ou leur donner une formation de 2 jours sur la gestion de conflit changera quoi que ce soit Ă  leur engagement ?

A partir de lĂ , question toute simple : « Comment une entreprise peut-elle dĂšs lors s’imaginer participer Ă  l’expĂ©rience positive de ses clients au quotidien avec 80% de ses collaborateurs non impliquĂ©s dans leur travail ? »

A ce compte, le client a automatiquement 8 chances sur 10 de voir bousiller tous ses espoirs d’expĂ©rience positive au contact de la majoritĂ© des employĂ©s.

(1) The employee experience: Culture, engagement, and beyond — Global Human Capital Trends Deloitte

(2) Engagement and the Global Workplace — Steelcase

(3) State of the Global Workplace — Gallup

L’employĂ© « poisson rouge » en son bocal

Mais il y a plus fort encore ! Pendant que les entreprises glosent sur l’expĂ©rience client, 79% des employĂ©s interrogĂ©s signalent ne jamais travailler en dehors de leur bureau. D’oĂč une autre nouvelle question toute simple : « Comment une entreprise peut-elle estimer participer activement Ă  une expĂ©rience positive dans le quotidien de ses clients si la majoritĂ© de ses employĂ©s restent calfeutrĂ©s dans leurs bureaux sans jamais voir un vrai client ? »

Expérience client - 79% d'employés ne voient jamais de vrais clients

Bonjour, employĂ© poisson rouge tournant inlassablement dans le monde factice de ton aquarium. Ça baigne ?

Allez, allez, prenez votre cahier, interrogation écrite ! Comment fait-on pour métamorphoser ses employés sédentaires en nouveaux aventuriers du client perdu (de vue) ?

En sortant de son chapeau une Ă©niĂšme technique ? En changeant pour la cinquiĂšme fois en dix ans l’organigramme de l’entreprise ? En parachutant des « chefs du bonheur » dont l’objectif serait que les employĂ©s n’aillent plus Ă  reculons au bureau le matin ? En organisant des courses de drones ou des dĂ©gustations de biĂšres ? En mettant tout le personnel sous intraveineuses de « Design Thinking » ou de « Sprints Design » ?

« Les CHO (chief happiness officer) sont le symptĂŽme de tout ce qui va mal dans l’entreprise »

« Les CHO (chief happiness officer) sont le symptĂŽme de tout ce qui va mal dans l’entreprise » assĂšne la sociologue du travail DaniĂšle Linhart, directrice de recherche au CNRS et professeure Ă  l'universitĂ© de Paris X.

Tout cela pour vous dire que l’expĂ©rience collaborateur, nouveau concept en vogue dans les officines RH, renvoie naturellement, comme l’expĂ©rience client, vers la biologie de Homo-Sapiens et les 4 Ă©tapes de ses comportements que nous dĂ©cortiqueront dans le rĂ©flexe n°3.

D’accord, un vernis « cool » appliquĂ© sur l’environnement en entreprise ne gĂąche rien.

Mais, les employĂ©s ne viennent pas bosser pour profiter d’une sĂ©ance de yoga du rire, d’un massage ThaĂŻ aux fleurs, recevoir un petit-dĂ©jeuner dĂ©tox gratuit, se dĂ©tendre dans un cabinet Ă©phĂ©mĂšre d’ostĂ©opathie, jouer au ping-pong ou s’éclater Ă  la zumba 


« La recrudescence de burn-out, de bore-out et de brown-out montre qu’aprĂšs 30 ans passĂ©s Ă  optimiser leurs processus, avec un leadership descendant, les entreprises ont fini par oublier l’Humain »

Non, ils viennent pour accomplir, rĂ©aliser quelque chose qui a du sens. Laurence VanhĂ©e, auteure de « Happy RH : le bonheur au travail, rentable et durable » relĂšve que « la recrudescence de burn-out, de bore-out et de brown-out montre qu’aprĂšs 30 ans passĂ©s Ă  optimiser leurs processus, avec un leadership descendant, les entreprises ont fini par oublier l’Humain ». Pour la pythie belge du bonheur, les entreprises doivent surtout « rĂ©inventer leur façon de travailler et remettre l’humain au centre des prĂ©occupations ».

Old is the new black

Mais, trĂȘve de catastrophisme, les amis. Tous ces signaux d’alarme qui rythment rĂ©guliĂšrement la vie des entreprises ne forment-ils pas l’électrochoc idĂ©al pour replacer, enfin, l’ĂȘtre humain au centre du jeu Ă©conomique selon le principe que « ce qui est vieux est Ă  nouveau 
 nouveau ».

Il est temps de créer les conditions pour réhabiliter le fonctionnement du cerveau de Homo-Sapiens ainsi que ses comportements de mieux en mieux connus. Il détient la clé des bons réflexes à encourager au sein des entreprises, au service de sa majesté expérience client.

Des ĂȘtres avant tout

Pour fournir une expérience client positive, il est tout aussi nécessaire de fournir une expérience collaborateur positive.

Si les employĂ©s vivent une expĂ©rience nĂ©gative — selon les mĂȘmes principes que ceux Ă©numĂ©rĂ©s dans nos deux premiĂšres parties — ils ne pourront forcĂ©ment pas ĂȘtre dans les meilleures dispositions pour fournir une expĂ©rience client positive.

À nouveau, tout dĂ©marre de l’individu. Le PDG est un individu, un ĂȘtre humain, un Homo-Sapiens. Les managers sont des individus, des ĂȘtres humains, des Homo-Sapiens. Les collaborateurs sont d’abord des individus, des ĂȘtres humains, des Homo-Sapiens 
 Des ĂȘtres !

En alignant toute l’organisation sur les mĂȘmes 9 rĂ©flexes conseillĂ©s, l’expĂ©rience collaborateur sera plus Ă©levĂ©e, et automatiquement, l’expĂ©rience client plus positive pour un client avant tout ĂȘtre humain, Homo-Sapiens.

J’ai pratiquĂ© le karatĂ© pendant plus de 10 ans et l’enseignement de Didier reste gravĂ© dans ma mĂ©moire. Je vous partage cette pĂ©pite de vie avec un malicieux plaisir. 

En karatĂ©, comme dans tous les Arts Martiaux, en plus du karategi — uniforme traditionnel utilisĂ© pour la pratique et la compĂ©tition de karatĂ© — les pratiquants portent Ă©galement une ceinture de couleur nommĂ© « obi ». 

Les obi sont de couleurs blanches pour les dĂ©butants et passent progressivement par les couleurs jaune, orange, verte, bleue, marron jusqu’à la noire. A l’époque de mon rĂ©cit j’allais obtenir ma ceinture noire. 

Chez Didier, mon professeur, on restait ceinture blanche jusqu’à la ceinture noire car « Votre niveau doit se voir Ă  votre niveau, pas Ă  la couleur de votre ceinture qui ne sert qu’à fermer votre karategi » disait-il sans cesse.

Didier encourageait ses Ă©lĂšves Ă  aller dĂ©couvrir d’autres horizons en participant Ă  des cours donnĂ©s par d’autres professeurs. 

Me voilĂ  donc parti un matin au travail avec mon sac de sport. Le dojo oĂč j’avais prĂ©vu d’aller se trouvait dans un centre d’entraĂźnement de commandos et le professeur Ă©tait bĂ©ret vert. Une armoire Ă  glace tout en muscles.

Il me dit que je pouvais participer si je le souhaitais mais que ma ceinture noire n’étant pas reconnue dans son dojo, je devais mettre une ceinture blanche.

Me voilĂ  dans le vestiaire avec la vingtaine d’autres Ă©lĂšves. J’enfile mon karategi et ma ceinture blanche. Les Ă©chauffements finalisĂ©s, les exercices terminĂ©s, les premiers Kumite — combats face-Ă -face — commencent.

Et là chers lecteurs, je me trouve en face d’un individu avec une ceinture noire, que je ne connais pas, et qui ne me connait pas non plus.

AprĂšs avoir supposĂ© mon niveau en regardant la couleur de la ceinture blanche que je portais, il me snoba de la tĂȘte aux pieds.

Le premier combat démarra 
 Une fraction de seconde plus tard je lui assainai un premier coup dans le plexus solaire me valant un Wazari (2 points).

AprĂšs s’ĂȘtre remis de sa surprise et d’un score de 2 Ă  0, il regarda Ă  nouveau ma ceinture blanche un peu perplexe. Lors du deuxiĂšme combat, il se mĂ©fia Ă  peine plus, pensant, il me le dira plus tard, que le premier coup Ă©tait la chance du dĂ©butant.

Essayant de me surprendre, il se lança sur moi avec un coup de poing direct que j’esquivais Ă  la derniĂšre seconde. EmportĂ© par son poids il m’exposa son dos. Un quart de seconde plus tard je lui portais un coup du tranchant de la main sur la nuque, Ippon (3 points) portant le score Ă  5-0. Il finit par remporter un Yuko (1 point) fixant le score final Ă  5-1.

Je vous laisse dĂ©duire la conclusion de mon analogie sportive sur votre organisation. Vaut-il mieux dĂ©velopper une culture de l’avoir dans laquelle le niveau d’expertise de l’expĂ©rience client se mesure Ă  la couleur de la ceinture de vos employĂ©s, aux techniques utilisĂ©es, a une certification obtenue aprĂšs 10 jours de formation ou plutĂŽt une culture de l’ĂȘtre permettant Ă  chaque employĂ©, sans exception, d’ĂȘtre en proximitĂ© avec les clients et gĂ©nĂ©rer des rĂ©sultats concrets ?

ExpĂ©rience client — RĂ©flexe 2. Cultiver l’ĂȘtre, l’avoir suivra.

Retrouvons notre CEO belge Ă  la tĂȘte de l’entreprise de distribution de matĂ©riel Ă©lectrique. Au sein de ses Ă©quipes, pas le dĂ©but d’un poil de spĂ©cialiste expĂ©rience client, pas l’ombre d’un « UX designer ». Toute son organisation — RH, Marketing, Juridique, Ventes, 
 — est « expĂ©rience client ».

Il inspire et encourage ses équipes à aller au contact des clients, à les comprendre, à vivre leur quotidien. Avec pour résultat que ses équipes travaillent avec des souvenirs bien réels de vrais clients en chair et en os.

A la place de « Focus Group » ou de « Personas » stĂ©riles, l’attitude bienveillante du CEO et son acharnement Ă  (vraiment) mettre le client au centre de toutes les activitĂ©s de l’entreprise, dessine une culture qu’il n’est pas nĂ©cessaire d’afficher dans les salles de rĂ©union, car elle est vivante et imprĂšgne tous les actes. Elle incite les collaborateurs Ă  ĂȘtre au contact des clients, Ă  penser Humain, 


Le rĂ©flexe n°2 « Cultiver l’ĂȘtre, l’avoir suivra » vous propose de faire infuser la notion que l’expĂ©rience client n’est pas un mĂ©tier en soi mais bien plus une attitude.

Penser et fonctionner en prioritĂ© en mode ĂȘtre plutĂŽt qu’avoir ; en faisant de l’ expĂ©rience Humaine, client et collaborateur une (vraie) culture d’entreprise animĂ©e par la confiance, l’inspiration et un leadership de l’ĂȘtre :

  • ĂȘtre stratĂ©gique Ă  la place d’avoir une stratĂ©gie, 
  • ĂȘtre bienveillant plutĂŽt que d'avoir de l'empathie
  • ĂȘtre efficace Ă  la place d’avoir des processus, 
  • ĂȘtre connaissance client Ă  la place d’avoir des donnĂ©es, 
  • ĂȘtre engagĂ© plutĂŽt que d’avoir un job, 
  • ĂȘtre en sĂ©curitĂ© au lieu d’avoir un salaire, 
  • ĂȘtre crĂ©dible plutĂŽt que d’avoir un avis,
  • ĂȘtre accueillant Ă  la place d’avoir des locaux cool, 
  • ĂȘtre expert versus avoir une expertise, 


Un savoir-ĂȘtre, traduit en culture et en Business Model, adoptĂ© par l’ensemble de l’organisation. De la direction gĂ©nĂ©rale Ă  l’hĂŽtesse d’accueil. Les techniques (tests, enquĂȘtes, processus, Net Promoter Score, intelligence artificielle...), objets (Ă©crans, produits, services) et ressources (budgets, Ă©quipes, management), ne sont que des avoirs. Jamais une fin en soi.

Une fois la culture de l’ĂȘtre installĂ©e, la qualitĂ© des avoirs pour amĂ©liorer l’expĂ©rience client prendra tout son sens.

Patricia Lemattre

Managing Director Veepee

« Marc est un véritable expert en matiÚre de neurosciences et de techniques avancées pour une expérience client optimisée. »

Sa vision stratégique, son expertise unique, son approche empathique et pragmatique, font de lui un partenaire commercial exceptionnel pour ceux qui souhaitent surperformer et maintenir leur entreprise à la pointe de l'innovation neuroscientifique.

Tout le monde peut participer Ă  la conception d’expĂ©rience client positive en travaillant avec quelques bons rĂ©flexes.

Il s’agit bien plus d’un état d’esprit Ă  retrouver en re-dĂ©veloppant le savoir-ĂȘtre, avant le savoir ou le savoir-faire. Une fois cette culture initiĂ©e, les techniques prennent tout leur sens.

De mes missions de terrain durant plus de deux dĂ©cennies, j’ai dĂ©gagĂ© 9 rĂ©flexes que toute entreprise peut adopter pour gĂ©rer l'expĂ©rience client. Et cela, Ă  son rythme, dans l’ordre qui lui convient, en fonction de ses besoins et capacitĂ©s. Non pas pour faire d’un coup la rĂ©volution mais s’offrir les Ă©volutions nĂ©cessaires menant Ă  dĂ©livrer une expĂ©rience client digne de ce nom.

Nous prenons votre vie privée au sérieux et ne vous spammerons jamais, ne partagerons ni ne vendrons vos données. Vous pouvez également vous désinscrire des e-mails à tout moment en 1 clic. Consultez notre politique de confidentialité pour tous les détails.

🧠 ExpĂ©rience client — RĂ©flexe 9. Faire de son mieux, toujours.

Trousseau de clĂ©s et boĂźte Ă  outils de l’expĂ©rience client Dernier rĂ©flexe. Un rĂ©flexe enfantĂ© par les huit prĂ©cĂ©dents. Un peu le gri-gri Ă  garder Ă  l’esprit pour vous rassurer et vous dĂ©complexer. Ces rĂ©flexes sont modestement des pistes proposĂ©es pour tendre vers une organisation, un fonctionnement et une culture qui (re)placent rĂ©solument l’Humain au centre 


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🧠 ExpĂ©rience client — RĂ©flexe 8. Garder les choses simples.

En expĂ©rience client, tous les chemins mĂšnent Ă  Rome 
 enfin, presque ! Le mix « environnement – demande des clients – Ă©volution technologique » dans lequel Ă©voluent les entreprises ne cesse de se complexifier et de s’accĂ©lĂ©rer.  Face Ă  ces changements de plus en plus rapide, l’entreprise moderne a hĂ©las rĂ©pondu Ă  la complexitĂ© 


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ExpĂ©rience client, des chiffres et de l’ÊTRE Beaucoup de grosses entreprises sont aveuglĂ©es par la gestion de leur structure de coĂ»ts privant l’expĂ©rience client du regard soutenu qu’elle mĂ©rite : sur 100% de leurs dĂ©penses, la majoritĂ© de celles-ci sont aspirĂ©es dans les frais de salaires, de production, d’innovation, de fonctionnement, d’infrastructures, 
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